GIRL POWER : découvrez ces Foodleuses, tant engagées qu’inspirantes !
La Journée Internationale des Droits des Femmes est célébrée, chaque année, le 8 mars. Cette journée de sensibilisation et de mobilisation souligne la nécessité de continuer à lutter pour l'égalité des sexes et pour les droits des femmes. Pour l’occasion, nous avons décidé de mettre à l’honneur des femmes : 5 Foodleuses, tant engagées qu’inspirantes. Au travers de cet article, elles vous racontent leur parcours, vous confient leurs combats, leurs inspirations : découvrez-les !
. Peux-tu te présenter en quelques lignes ?
Je travaille chez Foodles depuis 2 ans, je manage les chefs qui créent les recettes que vous retrouvez dans nos frigos et sur nos comptoirs.
. Peux-tu nous retracer ton parcours ?
Après une licence de management en hôtellerie restauration, j’ai trouvé un job sur Paris dans la restauration rapide. J’ai adoré ! 14 ans plus tard, j’ai eu envie d’un nouveau défi et j’ai croisé la route de Foodles.
. En tant que femme, y-a-t’il des obstacles que tu as dû surmonter pour t’épanouir ?
Plus jeune oui, il est parfois difficile de s’imposer en tant que femme dans l’univers assez masculin qu’est la restauration (mais qui se féminise, heureusement!), encore plus quand on a encore peu d’expérience. C’est un challenge quotidien d’évoluer dans cet univers, nos partenaires sont souvent des hommes et ce n’est pas toujours facile de trouver sa place en tant que femme.
. En général, de quoi es-tu la plus fière ?
Mes enfants bien sûr ! Maman solo et fière de l’être.
. Qu’est-ce que la journée du 8 mars représente pour toi ?
Une mise sous les projecteurs de toutes les femmes pour leur courage, leur travail, leur quotidien…
. Qui est la femme qui t’inspire le plus dans ta vie, et pourquoi ?
Ma mère, c’est évident ! Un modèle pour moi, par sa force et sa gentillesse sans limite.
. Avec du recul, qu’aurait aimé entendre ton toi âgé de 10 ans ?
Qu’être une femme n’est pas une faiblesse !
. Peux-tu te présenter en quelques lignes ?
Je suis Marie, CMO, plus communément appelée directrice marketing chez Foodles depuis 1 an et demi. J’ai une super équipe d’une petite vingtaine de personnes qui gère pas mal de sujets divers pour nos deux cibles de clients : nos clients entreprises et nos utilisateurs (que l’on appelle nos convives). Les sujets que l’on traite sont très variés : allant du service client, à la gestion de notre image de marque, en passant par la communication, la création de contenu, l'événementiel et le marketing de performance, entre autres.
. Peux-tu nous retracer ton parcours ?
Je suis ingénieur de formation (en “génie électrique”) mais je ne me voyais pas vraiment évoluer dans cet univers, très technique ou industriel. J’ai donc voulu “m’ouvrir” en réalisant un master spécialisé en école de commerce pour compléter ma formation, ce qui m’a permis de démarrer ma carrière dans le conseil en stratégie et transformation pour entreprises. C’était hyper formateur, hyper intense, mais j’ai été assez vite attirée par “le monde des startups” : leur énergie, leurs challenges, leurs sujets… J’ai donc plongé dans ce monde dès la première opportunité et j’y ai fait mes armes en me spécialisant dans le marketing, digital tout d’abord dans le monde des cosmétiques et plus largement ensuite, grâce à Foodles. Du coup, un parcours un peu sans queue ni tête en fait ! Haha.
. En tant que femme, y-a-t’il des obstacles que tu as dû surmonter pour t’épanouir ?
Surtout pendant mes études je dirais, un milieu très masculin, il fallait un peu s’imposer et certainement prouver davantage pour être entendu. Ensuite côté pro, je suis toujours partie du principe que les actes valent mieux que les mots. J’ai donc vite choisi où mettre mon énergie (dans mon travail et mes résultats) et je ne suis pas mécontente d’être arrivée là où je suis aujourd’hui avec ça.
. En général, de quoi es-tu la plus fière ?
De mon entourage : au travail - l’équipe qui m’entoure, une confiance mutuelle qui nous permet d’évoluer dans un environnement de travail sain, agréable et motivant au quotidien ; et à la maison - ma petite famille et mes amis qui me portent un soutien sans faille aussi bien professionnellement que personnellement.
. Qu’est-ce que la journée du 8 mars représente pour toi ?
Une journée qui nous permet de bien nous rappeler et de ne jamais oublier tous ces droits que nous avons actuellement et qui ne nous ont pas toujours été octroyés, de nous rappeler toutes ces femmes qui se sont battues pour ces droits, pour nous. Mais c’est aussi une journée pour continuer à avoir conscience que la situation actuelle n’est toujours pas idéale, égalitaire, et qu’elle est malheureusement encore trop disparate dans le monde, alors pour cela il faut continuer à faire porter nos voix.
. Qui est la femme qui t’inspire le plus dans ta vie, et pourquoi ?
Je n’ai pas une femme en particulier. Ma passion pour le sport fait que je suis très admirative des athlètes féminines de manière générale : Serena Williams (tennis), Courtney Dauwalter (ultra trail)... mais aussi de femmes politiques comme Christine Lagarde.
. Avec du recul, qu’aurait aimé entendre ton toi âgé de 10 ans ?
Ose ma grande ! Ose poser des questions, dire oui, dire non, ose rire, ose pleurer, ose dire que tu n’a pas compris, ose vivre ta vie !
. Peux-tu te présenter en quelques lignes ?
Yina, je suis Data Analyst chez Foodles, j’ai rejoint Foodles il y a 2 ans. J’étais, jusqu’à récemment, la seule personne à travailler sur ce périmètre. Mon travail est de mettre à disposition des données de qualité en fonction des besoins des équipes, de les aider à construire des rapports clairs, qui font sens et, pour finir, d’en tirer des insights business sous forme d’études de données, pour aider à la prise de décision. Ça a été un gros challenge d’être la seule référente sur tout ce périmètre !
. Peux-tu nous retracer ton parcours ?
J’ai un parcours un peu atypique. J’ai commencé par un bachelor en Culture sous la recommandation de mes parents, à la sortie du bac, en arrivant en France. Ensuite je me suis réorientée en Cartographie à l’université, pour finir avec un master en Géomarketing, en alternance. J’ai ensuite décroché mon premier CDI, en tant que Chargée d’Étude Statistique. J’y suis restée 4 ans puis, je suis arrivée chez Foodles.
. En tant que femme, y-a-t’il des obstacles que tu as dû surmonter pour t’épanouir dans ton rôle ?
Certainement. Parfois dans le cadre professionnel, je dois essayer de m’affirmer face à certains hommes qui ont l’habitude d’imposer leur idée, même si cela n’est pas dans ma nature. Ça s’apprend, à un moment on est obligé d’affronter l’autre, quand on sent que ça part dans une mauvaise direction.
. En général, de quoi es-tu la plus fière ?
D’avoir évolué dans mon métier, d’avoir assuré pendant 2 ans un périmètre toute seule, et d’apprendre à tout résoudre par moi-même !
. Qu’est-ce que la journée du 8 mars représente pour toi ?
Elle permet de rappeler aux femmes de faire valoir leurs droits ! Il ne s’agit pas de discuter uniquement de l’égalité salariale (qui est certes un sujet essentiel!) mais il y a, à mon sens, un changement de mentalité à voir, au niveau sociétal et au niveau de l’éducation des plus jeunes. Un enfant a besoin d’autant d’attention de son père que de sa mère et il n’est pas “normal” qu’une mère se sacrifie professionnellement pour sa famille. Il faut creuser ces sujets en profondeur.
. Qui est la femme qui t’inspire le plus dans ta vie, et pourquoi ?
Je n’ai pas de figure en particulier qui m’inspire, mais d’une manière générale je suis admirative vis-à-vis des femmes qui s'épanouissent dans leur carrière, et qui n’ont pas peur de concilier vie professionnelle et vie de famille !
. Peux-tu te présenter en quelques lignes ?
Je suis Alice, Head of Customer Care chez Foodles. Quand je suis arrivée, il y a un peu plus de 3 ans, j’étais la seule personne au service client. J’ai depuis construit mon équipe : nous sommes désormais 5 au service client, et l’équipe ne fait que grandir !
Notre mission est de gérer la relation avec nos convives, c’est-à-dire les salariés qui consomment chaque jour dans nos cantines. Nous sommes aussi en charge des projets de satisfaction et de fidélisation client, pour leur assurer la meilleure expérience possible.
. Peux-tu nous retracer ton parcours ?
Après une école de commerce et quelques expériences en tant que commerciale et responsable communication, j’ai compris que ce que j’aimais le plus était la relation directe avec le client. Et que, surtout, le démarchage n’était pas fait pour moi !Je me suis alors naturellement tournée vers un métier de service et j’ai découvert l’univers du Care, ou comment prendre soin des ses clients.
. En tant que femme, y-a-t’il des obstacles que tu as dû surmonter pour t’épanouir dans ton rôle ?
Je pense que l’obstacle auquel j’ai dû faire face, c’est des pensées limitantes. Vous savez, cette petite phrase intérieure qui nous dit que l’on est pas légitime, pas suffisante… et qui nous empêche d’être plus ambitieuse ou d’aller au bout d’une idée.
. Qu’est-ce que la journée du 8 mars représente pour toi ?
La journée du 8 mars et pour moi l’occasion de se rappeler que l’égalité homme-femme n’est pas encore aquise ! C’est aussi l’occasion de mettre en lumière quelques chiffres clés qui montrent qu’il y a encore des actions à mener, par les entreprises mais aussi par tous, au quotidien, pour tendre vers une pleine égalité. J’espère tout de même que cette journée n’aura plus lieu d’être dans quelques années !
. Qui est la femme qui t’inspire le plus dans ta vie, et pourquoi ?
Je suis admirative de toutes les femmes qui entreprennent, celles qui ont monté leur entreprise et qui sont allées au bout de leur projet (par exemple : Pauline Laigneau qui a fondé Gemmyo, Mathilde Lacombe qui a monté Aime, une marque de skincare…ou encore ma grand-mère !).
. Avec du recul, qu’aurait aimé entendre ton toi âgé de 10 ans ?
J’aurais aimé savoir que tout est possible ! Qu’il faut se faire confiance et ne pas mettre de limite à ses envies. La vie a beaucoup plus d’imagination que nous !
. Peux-tu te présenter en quelques lignes ?
Salma ! Je suis Foodles Officer, au siège de Foodles, à Clichy. Je m’occupe de l’accueil et du service des clients, mais aussi de l’entretien de l’espace de restauration et du respect des règles d’hygiène. C'est un challenge pour moi de travailler au siège, car c'est une façon de montrer à tout le monde ce que Foodles m'a appris durant 1 an et demi ! J’apprécie le contact humain avec mes collègues et, par-dessus tout, j’apprécie les faire sortir de leur bureau afin qu’ils apprécient leur pause-déjeuner !
. Peux-tu nous retracer ton parcours ?
J'ai commencé en faisant des petits stages avec mon lycée, dans l'hygiène hospitalière. J’ai ensuite entamé un BTS en Sciences et Technologies des Aliments, que j'ai dû arrêter pour des raisons personnelles. Mais je n’ai pas perdu de vue mon objectif. Et puis, un jour, j’ai découvert l’annonce de Foodles, et j'ai voulu découvrir ce petit “plus” qu’ils promettaient, par rapport à la restauration rapide. Pour tout vous dire, leurs valeurs qui ne m'ont jamais déçue.
. En tant que femme, y-a-t’il des obstacles que tu as dû surmonter pour t’épanouir dans ton rôle ?
Oui, dans mes anciens postes. J’avais le sentiment que les hommes pouvaient évoluer plus vite que nous, les femmes, qu’on faisait plus attention à leurs retours qu'aux nôtres, que nos idées étaient sous-estimées… et même, que certaines entreprises craignaient davantage les démissions des hommes. Eh oui, car une femme, dans l’imaginaire, va beaucoup plus s'absenter qu’un homme : pour un enfant malade, pour un congé maternité etc…
. En général, de quoi es-tu la plus fière ?
De mon franc parlé ! Même si ça ne plaît pas toujours. Mais au moins, ça réduit le stress et on peut vite passer à autre chose !
. Qu’est-ce que la journée du 8 mars représente pour toi ?
Même si c’est une journée importante pour nous rappeler que les temps changent et que nous tendons vers une situation égalitaire, elle ne représente pas grand chose pour moi.
Je préfère me concentrer sur le quotidien.
. Qui est la femme qui t’inspire le plus dans ta vie, et pourquoi ?
Ma mère ! Elle s'est battue pour qu'on ne manque de rien. Et elle n'a jamais hésité à tenir tête, même aux hommes.
. Avec du recul, qu’aurait aimé entendre ton toi âgé de 10 ans ?
''Ton franc parlé te causera du tort mais, ne regrette jamais d'avoir tenu tête et d'exprimer ton ressenti. Et surtout n'abandonne jamais tes rêves, suis tes objectifs !''
Merci à Émilie, Marie, Yina, Alice et Salma pour leur partage inspirant ! Et pour vous, que représente la journée du 8 mars ?